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BIDOUILLE 43 : COUPLAGES, COMPLICITES, APPLICATIONS A LA PARAPSYCHOLOGIE

Le 07/07/2013

C’est comme ça : ça glandouille pendant plusieurs jours et ça finit par se débloquer en une soirée… allez comprendre…

Nous allons parler de couplages, aujourd’hui, et introduire la notion (bio)physique de complicité. Puis, nous en verrons les applications à la parapsychologie.

 

Pour cela, il nous faut malheureusement repartir de la formule générale, à 2n variables cette fois :

 

(1)          X(t,ts) = òt’ X(t’,0)rt(t’-t,ts)dnt’ = òts’ X(0,ts’)ht(ts’-ts,t)dnts

 

où t = (t1,…,tn) et ts = (ts1,…,tsn) sont des n-vecteurs (colonnes) et :

 

(2)          rt(t,ts) = exp[-a(t1/ts1,…,tn/tsn)]/ts1…tsn

(3)          ht(ts,t) = exp[-b(ts1/t1,…,tsn/tn)]/t1…tn

 

car les fonctions a(.) et b(.) ne sont généralement pas linéaires, de sorte que les noyaux intégraux rt et ht ne sont plus factorisables en produits individuels, comme chez Fourier, Mellin-Fourier ou Laplace.

On remarque déjà que le processus X n’est ordinaire qu’au point (de l’espace de travail à 2n dimensions) ts = 0, i.e. (ts1,…,tsn) = (0,…,0) et en ce point seulement et qu’il n’est spectral qu’au point t = 0, i.e. (t1,…,tn) = (0,…,0) et en ce point seulement. Partout ailleurs, X est quantique, car les produits titsj ne sont pas tous nuls, 1 £ i,j £ n.

Nous nous bornerons au cas n = 2, la généralisation étant immédiate.

Pour n = 2, l’espace de travail est de dimension 4 et le processus (1) s’écrit, compte tenu de (2) et de (3) :

 

(4)          X(t1,t2,ts1,ts2) = òt1’òt2’ X(t1’,t2’,0,0)rt[(t1’-t1)/ts1,(t2’-t2)/ts2]dt1’dt2

= òts1’òts2’ X(0,0,ts1’,ts2’)ht[(ts1’-ts1)/t1,(ts2’-ts2)/t2]dts1’dts2

 

On le décompose d’abord suivant (t2,ts2), ce qui donne :

 

(5)          X(t1,t2,ts1,ts2) = -X(t1,0,ts1,0) + X(t1,t2,ts1,0) + X(t1,0,ts1,ts2) + Xint(t1,t2,ts1,ts2)

 

puis chaque terme suivant (t1,ts1) :

 

(6a)     X(t1,0,ts1,0) = -X(0,0,0,0) + X(t1,0,0,0) + X(0,0,ts1,0) + Xint(t1,0,ts1,0)

(6b)     X(t1,t2,ts1,0) = - X(0,t2,0,0) + X(t1,t2,0,0) + X(0,t2,ts1,0) + Xint(t1,t2,ts1,0)

(6c)     X(t1,0,ts1,ts2) = -X(0,0,0,ts2) + X(t1,0,0,ts2) + X(0,0,ts1,ts2) + Xint(t1,0,ts1,ts2)

(6d)     Xint(t1,t2,ts1,ts2) = -Xint(0,t2,0,ts2) + Xint(t1,t2,0,ts2) + Xint(0,t2,ts1,ts2) + Xint,int(t1,t2,ts1,ts2)

 

Dans ces 16 termes, le « fil d’Ariane » est le suivant : partout où l’on voit figurer une variable, ordinaire ou spectrale, cette variable n’est pas nulle. On dénombre ainsi 11 termes d’interaction :

Xint(t1,0,ts1,0) et Xint(0,t2,0,ts2) sont des termes (d’auto-)interaction car t1ts1 et t2ts2 y sont partout non nuls. Idem pour :

 

X(t1,t2,0,0) : couplage ordinaire – ordinaire ;

X(0,t2,ts1,0) , X(t1,0,0,ts2) : ordinaire – spectral ;

X(0,0,ts1,ts2) : spectral – spectral ;

Xint(t1,t2,ts1,0) , Xint(t1,t2,0,ts2) : quantique – ordinaire ;

Xint(t1,0,ts1,ts2) , Xint(0,t2,ts1,ts2) : quantique – spectral ;

Xint,int(t1,t2,ts1,ts2) : quantique – quantique.

 

Les couplages faisant intervenir 2 (resp. 3, 4) variables commencent au degré 2 (resp. 3, 4). Ainsi, X(t1,t2,0,0) a pour terme de plus bas degré t1t; Xint(t1,t2,ts1,0), t1t2ts1 et Xint,int(t1,t2,ts1,ts2), t1t2ts1ts2.

La situation se complique lorsqu’on passe de variables (t,ts) à des variables fonctionnelles U(x,t) = [U1(x1,t1),…,Un(xn,tn)], où chaque Ui(xi,ti), 1 £ i £ n, recouvre un hypervolume 4D V4i d’espace-temps. Non pas parce que de nouveaux termes d’interaction apparaîtraient, mais parce que chaque composante de champ Ui(xi,ti) peut s’annuler pour ti ³ tfi, sans pour autant que son spectre Usi(xsi,tsi) en fasse autant, ou réciproquement.

Pour n = 2, on a toujours 4 variables de champ, [U1(x1,t1),U2(x2,t2),Us1(xs1,ts1),Us2(xs2,ts2)] et donc deux 4-volumes ordinaires V41 et V42 et deux 4-volumes spectraux V4s1 et V4s2. Cette situation sert à modéliser les champs neurologiques de deux individus distincts. Nous allons être encore plus général et nous arrêter là en considérant des champs biologiques individuels B(x,t) = [B1(x1,t1),…,Bn(xn,tn)] contenant les champs neurologiques U(x,t). Nous tenons donc compte des champs d’origine chimique produits par des organismes vivants, mais pas seulement sensible à l’électromagnétisme. Et nous classifions de la manière suivante :

 

[Bi(xi,ti),Bsi(xsi,tsi)] = (0,0) : i-ème individu mort ; º (0,0) : inexistant ;

[Bi(xi,ti),Bsi(xsi,tsi)] = [0,Bsi(xsi,tsi)] : n°i biologiquement mort, spectralement vivant ;

[Bi(xi,ti),Bsi(xsi,tsi)] = [Bi(xi,ti),0] : n°i biologiquement vivant, spectralement mort ;

[Bi(xi,ti),Bsi(xsi,tsi)] ¹ (0,0) : n°i vivant (biologiquement et spectralement).

 

La situation de n°i est ainsi susceptible de changer au cours du temps ordinaire ou du temps spectral. Pour n = 2, on a deux individus, de sorte que, si l’on part d’un processus ordinaire P[B1(x1,t1),B2(x2,t2),0,0], ce processus concernera deux individus biologiquement vivants mais spectralement morts et on l’étendra, via un noyau intégral rB, à un processus quantique P[B1(x1,t1),B2(x2,t2),Bs1(xs1,ts1),Bs2(xs2,ts2)] portant sur ces deux mêmes individus, mais vivants. De manière équivalente, on partira d’un processus spectral P[0,0,Bs1(xs1,ts1),Bs2(xs2,ts2)], concernant deux individus biologiquement morts mais spectralement vivants et on l’étendra, via le noyau réciproque hB, au même processus quantique.

Si l’on se réfère aux termes (6) pour le processus P, variables [B(x,t),Bs(xs,ts)], on trouve les couplages suivants entre individus :

 

(7a) Pint[B1(x1,t1),0,Bs1(xs1,ts1),0] et Pint[0,B2(x2,t2),0,Bs2(xs2,ts2)] : auto-couplages.

 

Deux situations peuvent se présenter ici : soit n°2 est inexistant dans le premier, soit il est biologiquement et spectralement mort. Rien ne permet de le préciser en l’état. Idem pour n°1 dans le second terme.

 

(7b) P[B1(x1,t1),B2(x2,t2),0,0] : couplage purement biologique. Individus spectralement morts.

 

Il n’est pas concevable, ici, que Bs1(xs1,ts1) et/ou Bs2(xs2,ts2) soient identiquement nuls, car alors leurs originaux le seraient aussi. Ils n’ont pu que s’annuler à un moment donné, propre à chacun.

 

(7c) P[0,B2(x2,t2),Bs1(xs1,ts1),0] : n°1 biologiquement mort, n°2 spectralement mort.

(7d) P[B1(x1,t1),0,0,Bs2(xs2,ts2)] : idem en permutant les rôles.

 

(7e) P[0,0,Bs1(xs1,ts1),Bs2(xs2,ts2)] : couplage purement spectral. Individus biologiquement morts.

 

(7f) Pint[B1(x1,t1),B2(x2,t2),Bs1(xs1,ts1),0] : n°1 vivant, n°2 spectralement mort.

(7g) Pint[B1(x1,t1),B2(x2,t2),0,Bs2(xs2,ts2)] : n°1 spectralement mort, n°2 vivant.

 

(7h) Pint[B1(x1,t1),0,Bs1(xs1,ts1),Bs2(xs2,ts2)] : n°1 vivant, n°2 biologiquement mort.

(7i) Pint[0,B2(x2,t2),Bs1(xs1,ts1),Bs2(xs2,ts2)] : n°1 biologiquement mort, n°2 vivant.

 

(7j) Pint,int[B1(x1,t1),B2(x2,t2),Bs1(xs1,ts1),Bs2(xs2,ts2)] : n°1 et n°2 vivants.

 

Tous ces couplages apparaissent naturels dans le contexte quantique. Ensuite, c’est une question de perception, liée à ces fameux niveaux de réalité physique (la notion de « perception » couvrant, ici, jusqu’aux concepts inclus) :

 

-         au niveau ordinaire de réalité, 1 et 2 ne perçoivent que leurs champs biologiques, pas leurs spectres ;

-         au niveau spectral de réalité, 1 et 2 ne perçoivent que les spectres de leurs champs biologiques, pas leurs originaux.

 

En conséquence, tout ce qui relève des niveaux quantiques de réalité entre dans le cadre du « parapsychique » ou « paraphysique ». On vérifie ?

On passe sur (7a), évident.

(7b) : il ne peut s’agir de matière inerte, qui conserverait son spectre, la matière inerte ne vieillissant pas. On perçoit tout, c’est le domaine des « sciences du vivant ».

(7c et d) : n°1 étant spectral, il n’est pas perceptible de la réalité ordinaire et ne peut donc être décrit par la biologie (psychologie incluse). Hors cadre. « Parapsychologique ».

(7e) : on n’en parle même pas ; catégorié « sexe des anges »… J

(7f et g) : seul le couplage biologique B1B2 est perçu et explicable, B1Bs1 et B2Bs1 relevant de « l’ésotérisme ».

(7h et i) : rien d’explicable par la biologie.

(7j) : seul B1B2 est explicable par la biologie.

 

Voilà pour l’iceberg, sa partie émergée et sa partie immergée.

 

IL Y A COMPLICITé ENTRE DEUX INDIVIDUS LORSQU’ILS ADOPTENT UN COMPORTEMENT OU DES REACTIONS EN COMMUN. CECI NE PEUT SE PRODUIRE QUE LORSQU’IL Y A COUPLAGE, PUISQUE LE COUPLAGE INDUIT UN ECHANGE D’INFORMATIONS D’UN INDIVIDU A L’AUTRE ET ETABLIT UNE CORRELATION ENTRE EUX.

On définit de la même manière la notion de complicité psychologique : c’est un cas particulier de complicité biologique, d’origine neurologique. Les pensées, les idées sont en commun, l’échange d’informations est non verbal, les protagonistes ont, sur tel ou tel sujet, une conception commune de la chose. Pas question, ici, de « télépathie ». L’empathie suffit à établir une corrélation entre individus. Plus généralement, c’est de la communion de pensée.

Ne cherchons pas d’explications alambiquées : tous les phénomènes comportementaux s’expliquent au niveau de réalité tout à fait ordinaire. Les phénomènes dits "parapsychiques" n'entrent pas dans le cadre des sciences du comportement, car ils ne relèvent pas ou qu'en partie seulement de la biologie.
 

 

 

 

BIDOUILLE 42 : LES NIVEAUX DE REALITE PHYSIQUE, UNE REPONSE POSSIBLE

Le 03/07/2013

J’ai pêché, cette fois, par excès de simplicité. Il ne faut pas abuser non plus du Rasoir d’Occam : la Nature est simple au niveau fondamental. Mais ensuite, avec la complexité, elle ne l’est plus tout autant.

Il me faut être plus général et plus minutieux. Les noyaux r(t,ts) et h(t,ts) ou même r(x,xs) et h(x,xs) en dimension n (pratiquement, n = 3 ou 4) sont largement insuffisants pour décrire les phénomènes qui nous intéressent. Il nous faut passer à des formes fonctionnelles.

En fin de Bidouille 38, j’ai bien précisé : « si je me place dans un espace de fonctions sur E3 ou M », ensuite je donne une application à la neurobiologie. Mais, dans la description que je donne du champ de tensions U(x,t) à l’intérieur du volume V3 du système nerveux (qu’on peut assimiler à celui de l’organisme), les noyaux restent en r(x,xs,t,ts) et h(x,xst,ts), puisque j’y construis mon dual spectral Us(xs,ts). Donc, les variables restent x et t. L’entrelacement dont je parle à ce moment-là est Uint(x,xs,t,ts) : celui-là disparaît dès que (x,t) = (0,0) ou bien (xs,ts) = (0,0). Ce n’est pas ce qui nous intéresse ! J

Ce qui nous intéresse, c’est bien U(x,t) = 0. Notre cadre de travail adapté au problème est donc l’espace (fonctionnelle) des tensions sur E3 ou M.

Du coup, on introduit de nouveaux noyaux rU[U(x,t),Us(xs,ts)] et son réciproque hU[U(x,t),Us(xs,ts)]. L’intégration, qui se fait dans l’espace des tensions, fait appel à une différentielle de champ dU(x,t). Par simple changement de variables, on peut toujours ramener cette intégration à une intégration sur d3xdt : il suffit pour cela d’utiliser la matrice Jacobienne J3(U,x,t) ou J4(U,x). On a, en particulier :

 

(1)          Us(xs,ts) = òV3òt U(x,t)rU[U(x,t),Us(xs,ts)]J3(U,x,t)d3xdt

 

Parce que, en vertu de la propriété de normalisation des noyaux, le spectre d’une variable ordinaire est la variable spectrale (bidouille 38, formule 40).

Encore plus généralement, pour toute fonctionnelle ordinaire f[U(x,t)], j’ai une extension intégrale :

 

(2)          F[U(x,t),Us(xs,ts)] = òV3òt’ f[U(x’,t’)]rU[U(x’,t’)-U(x,t),Us(xs,ts)]J3(U,x’,t’)d3x’dt’

= òVs3òts’ fs[Us(xs’,ts’)]hU[Us(xs’,ts’)-U(xs,ts),U(x,t)]J3(Us,xs’,ts’)d3xs’dts

 

Il n’y a qu’un seul champ U(x,t). Rappelons qu’il modélise la tension de sortie, à l’instant t, d’un neurone situé en x dans V3 et que l’ensemble {x Î V3, U(x,t)} modélise l’activité du système nerveux à t. L’intégration s’effectue donc sur l’ensemble de toutes les valeurs U(x’,t’) de ce champ aux points x’ de V3 à tous les instants t’ contenus dans un certain intervalle de R. La décomposition canonique de F me donne :

 

(3)          F[U(x,t),Us(xs,ts)] = -F(0,0) + f[U(x,t)] + fs[Us(xs,ts)] + Fint[U(x,t),Us(xs,ts)]

 

A présent, je peux poser U(x,t) = 0 ou Us(xs,ts) = 0. Mais c’est ici qu’il me faut être minutieux. Parce que je peux avoir U(x,t) = 0 localement ou globalement. Idem pour Us(xs,ts) = 0.

Les conséquences physiques sont complètement différentes.

Regardons déjà la situation locale. Supposons qu’à l’instant t = t0 fixé, un nombre n de neurones, nécessairement inférieur au nombre total, soient silencieux. Alors, U(x1,t0) = … = U(xn,t0) = 0 et Fint est nulle, mais seulement en cet instant précis et en ces points précis du volume V3. Le découplage est donc essentiellement local. Alors, F[U(x1,t0),Us(xs,ts)] = … = F[U(xn,t0),Us(xs,ts)] = fs[Us(xs,ts)] se réduit bien au spectre de f, de sorte que f et fs se retrouvent découplés, mais seulement en ces points et à cet instant. Comme U(x,t) fluctue d’un instant à l’autre et d’un endroit à l’autre, à un instant ultérieur t1 > t0, ce découplage concernera, soit les mêmes points, soit d’autres. On ne peut pas le savoir à l’avance, le fonctionnement du système nerveux n’étant pas déterministe. Ça veut dire qu’il n’y aura pas de cohérence entre les découplages, pas de corrélation entre eux, sinon statistique. Le processus se restreint de ce fait aux petites échelles, ce qui explique qu’on ne distingue pas le corps spectral du corps ordinaire. En tous les autres points, pourtant, le couplage est bel et bien là ! Mais, du fait de l’intrication, corps ordinaire et corps spectral ne forment qu’un et sont, de fait, indiscernables l’un de l’autre.

La situation extrême est U(x,t) ¹ 0 dans tout V3 à l’instant t ou, pire encore, sur un intervalle de temps donné, inférieur ou égal à la durée de vie du corps. Ce cas correspondrait à l’activité simultanée de l’ensemble des neurones du système nerveux : le couplage serait alors maximal, mais gageons que le bonhomme gesticulerait comme un têtard dans le formol !!! J

U(x,t) = 0 globalement, cette fois, c'est-à-dire, dans tout V3 et pour t ³ tf correspond, on l’a vu, à la mort clinique. Il y a alors découplage, le corps spectral se distingue du corps ordinaire, le patient en état de mort clinique « a l’impression de flotter au-dessus de son propre corps, peut l’observer » et « prend peu à peu conscience qu’il possède un autre corps ».

Mais corps ordinaire et corps spectral se situent toujours dans le monde quantique !

C’est là que se produit la transition (quantique) du « Tunnel », qui va compléter la séparation des deux corps, en transférant le corps spectral au niveau de réalité spectrale.

 

On comprend mieux ce qui se passe en raisonnant en termes de niveaux de réalité physique.

 

On reste dans un monde physique à trois dimensions avec une vitesse critique, qui est la vitesse de la lumière. Ce monde se décline de trois manières : un niveau de réalité « ordinaire », un niveau de réalité « spectrale » et des niveaux de réalité quantique.

 

La réalité ordinaire incorpore l’ensemble des processus biologiques et psychologiques. Ainsi, même les « états modifiés de conscience » font partie de la réalité ordinaire, parce qu’ils ont des origines purement biologiques. En cela, on rejoint les neurosciences.

Très grossièrement, la réalité ordinaire, c’est « le monde des vivants ».

 

La réalité spectrale incorpore l’ensemble des processus purement spectraux. Ce que l’ésotérisme appelle « l’Au-Delà » se laisse identifier à cet état spectral du monde.

Toujours très grossièrement, la réalité spectrale, c’est « le monde des morts ».

 

« Monde des vivants » et « monde des morts » ne veut en fait rien dire et ne correspond même à rien, puisqu’on trouve des « vivants » aussi bien dans le monde ordinaire que dans le monde spectral. Le véritable « monde des vivants », c’est le monde quantique. Parce qu’il mélange « l’ordinaire » et le « spectral ».

 

De notre vivant, donc, nous appartenons au monde quantique. Alors,

 

POURQUOI NE PERCEVONS-NOUS PAS LES PHENOMENES ET CORPS SPECTRAUX AUSSI COURAMMENT QUE LES ORDINAIRES ?

 

PARCE QUE NOTRE PSYCHISME SE SITUE AU NIVEAU DE REALITE ORDINAIRE DU MONDE PHYSIQUE.

 

Et ce que le cerveau ne perçoit pas, même conceptuellement, nous ne pouvons nous le représenter.

La même chose est censée se produire au niveau de réalité spectrale : le spectre situé à ce niveau-là de réalité ne devrait pas (plus) percevoir les phénomènes et corps ordinaires.

Les niveaux « intermédiaires » se situent dans les niveaux de réalité quantique, qui peuvent s’avérer dénombrables ou non.

 

LES NIVEAUX DE REALITE QUANTIQUE SONT LE SIEGE DE TOUS LES PHENOMENES DITS « PARAPSYCHIQUES », CAR TOUT OBSERVATEUR SITUé A L’UN QUELCONQUE DE CES NIVEAUX DE REALITE PERçOIT AUSSI BIEN L’ORDINAIRE QUE LE SPECTRAL.

 

Résumons encore une fois :

Je suis vivant, je me porte bien, je suis une entité quantique, double, avec un corps ordinaire et un psychisme tout aussi ordinaire et leurs homologues spectraux. Mon double et moi sommes globalement indiscernables l’un de l’autre. Localement, il se produit sans cesse, durant toute ma vie biologique, des découplages et recouplages, imprévisibles à l’avance, donc dénués de cohérence. Je ne peux donc jamais distinguer mon double spectral de moi-même et je ne parviens pas non plus à percevoir ni à utiliser les phénomènes et capacités du monde quantique, même en « états modifiés de conscience », parce que mon organisme et mon psychisme sont limités au niveau de réalité ordinaire. J’en conclus, à tort, que « je n’ai pas accès au monde quantique » ni aux « facultés parapsychiques ». Et comme mon cerveau ne peut se représenter ces niveaux de réalité quantique, j’en déduis, toujours à tort, que « ça n’existe pas, seulement pour la matière inerte ». Par contre, je suis parvenu à construire des spectromètres, qui me permettent de visualiser des spectres. Mais je n’ai pu établir un rapport avec le vivant.

Je me retrouve, pour une raison ou une autre, en coma dépassé. Mon activité cérébrale cesse complètement. Mon double spectral se sépare alors automatiquement de moi. Du fait de cette séparation, je suis maintenant en mesure de le distinguer de mon corps biologique et j’en prends alors conscience. Forcément, puisque le système nerveux a son spectre… donc, la conscience, la pensée, ont le leur… J Il est maintenant question d’une conscience spectrale… Bon, mais lui comme moi nous situons encore dans le monde quantique. Or, le niveau de réalité physique qui est le mien est désormais la réalité spectrale. J’y retourne en passant par un « Tunnel » quantique. J’y reste ou j’en reviens : si la température interne de mon corps biologique se maintient en dessous de 25°C et continue même à descendre, plus le temps s’écoule, plus j’aurai de chance d’y rester ; si elle remonte au-dessus de 25°C, je me retrouve de nouveau couplé, parce que l’activité nerveuse aura redémarré et c’est reparti pour un tour. Pas besoin de Tunnel pour ça, c’est de la (re)corrélation. Au « retour », je ne perçois d’ailleurs rien : je me retrouve « dans mon corps », comme auparavant.

 

Il est avéré que les gens qui ont vraiment connu une expérience de mort avec retour à la vie (j’exclus ceux qui l’auraient « lus dans les médias » : autrement dit, les rigolos… J) conserve une trace mnésique quasi-indélébile, incluant les moindres détails, pour le restant de leur vie.

Je vois mal invoquer un quelconque « traumatisme psychologique », puisque le mental n’intervient pas et ne peut plus intervenir dans cette histoire, étant donné qu’il est « hors-circuit ». Le mental spectral peut-être, mais le psychisme n’y a pas accès.

 

A moins que… comme je me le demande… l’expérience ne « laisse des traces » dans le monde quantique. Une connexion quelconque. Un accès plus direct à son double spectral. Sans pour autant se mettre à traverser les murs… J

 

Le Tunnel n’est-il vraiment qu’une structure transitoire ? Ou bien permet-il, avant de s’estomper, « d’ouvrir un canal ou des canaux de transmission », bidirectionnels, entre la réalité ordinaire et la réalité spectrale ?

 

Après tout, nous faisons tous partie du même monde, le monde physique.

 

 

 

BIDOUILLE 41 : QUESTION QUI CONCERNE TOUTE LA QUANTIQUE

Le 22/06/2013

Oui, il y a eu erreur d’interprétation de ma part. Je vais revenir sur le n°40, quelques points sont à revoir.

Prenons, pour illustrer la chose, un exemple très simple :

 

(1)           x(t) = x0t/t

 

Afin de respecter les unités physiques (x et x0 en mètres, t et t en secondes), ce dont se moquent éperdument les mathématiques, j’ai considéré t comme un paramètre. Jusqu’ici, ça va. Mais ensuite, j’ai interprété t comme un paramètre spectral que j’ai noté ts, par économie de symboles. C’est là que se situe l’erreur : en fait, t peut être un paramètre temporel tout à fait ordinaire. Par exemple, t = t0 tel que x(t0) = x0. x(t) étant une fonction du temps, (1) est l’équation d’un signal. Mais d’un signal tout à fait ordinaire. Par contre :

 

(2)           x(t) = x0cos(wt) = x0cos(2pt/ts)

 

lui, est un signal qu’on peut qualifier de « quantique », même s’il paraît tout à fait classique, parce qu’il mêle une variable temporelle ordinaire (t) avec une variable temporelle spectrale (ts). C’est d’ailleurs une onde d’amplitude constante x0 et de phase q(t) = wt. Ce qui est « quantique », c’est d’associer à une onde un corps matériel et de n’en faire qu’une seule et même entité, susceptible de se comporter, tantôt comme un corps matériel, tantôt comme une onde, selon le contexte. Et encore, le couple (corps incident – mouvement de ce corps) ne constituera une « paire quantique » que si et seulement si la vitesse de groupe de l’onde coïncide avec la vitesse instantanée de déplacement du corps. Autrement dit, si l’onde associée suit fidèlement le corps. Est-ce le cas dans (2) ? Normalement, oui, puisque x modélise la position du centre de gravité du corps incident. La « fonction d’onde » y(x) n’est qu’une généralisation à trois paramètres de mouvement de x(t) et y(x,t), une extension à quatre paramètres de mouvement, x et t. En toute rigueur, (2) ne décrit qu’une onde monochromatique. Il faudrait plutôt un « paquet d’ondes » (sous-entendu : monochromatiques). C’est ici que le passage de ts du statut de simple « paramètre » à celui de pleine « variable » intervient : car, pour obtenir ce paquet d’ondes, on superposera des ondes monochromatiques de type (2) pour différentes périodes ts.

ça veut dire, en fait, qu’on a trois types de signaux physiques : les signaux ordinaires, les signaux spectraux et les signaux quantiques, qui sont des extensions des deux précédents et qui permettent de passer des uns aux autres.

Soit x(t) un signal ordinaire quelconque. Il suffit qu’il soit continu. Pour passer de x(t) à son spectre xs(ts) qui est lui-même un signal, j’ai besoin d’un « noyau de transition » : c’est r(t/ts) ou son réciproque h(ts/t). Ces deux noyaux sont des distributions quantiques car, pour passer de la variable ordinaire t à la variable spectrale ts, je dois faire appel à des signaux qui dépendent aussi bien de t que de ts. On peut donc dire que xs(ts) va s’obtenir par « transition quantique » à partir de x(t) et que x(t) va s’obtenir par « transition réciproque » à partir de xs(ts).

Idem pour une répartition de matière m(x,t). La notation que j’ai adoptée pour les noyaux n’est pas très pratique en dimension > 1, je la change donc en rx(x,xs) et hx(xs,x), sachant que rx dépend des rapports |xi/xsi| et hx, des rapports |xsi/xi| (i = 1,…,n).

Si j’effectue une « transition quantique » dans l’espace, je dois me donner une loi quantique de distribution rx(x,xs) qui me donnera :

 

(3)           ms(xs,t) = òV3 m(x’,t)rx(x’,xs)d3x’

 

où V3 est le volume de matière. Le résultat sera une densité de matière spectrale dans l’espace, mais évidemment pas dans le temps. Pour en obtenir une dans l’espace et dans le temps, j’utilise la propriété multiplicative des noyaux n-dimensionnels, qui me dit que :

 

(4)           rx,t(x,t,xs,ts) = rx(x,xs)rt(t,ts)

 

les distributions rx et rt pouvant avoir des formes très différentes. Alors, j’aurai :

 

(5)           ms(xs,ts) = òV3òt’ m(x’,t’)rx,t(x’,t’,xs,ts)d3x’dt’

 

Maintenant, l’extension quantique, aussi bien de m(x,t) que de ms(xs,ts) sera :

 

(6)           M(x,t,xs,ts) = òV3òt’ m(x’,t’)rx,t(x’-x,t’-t,xs,ts)d3x’dt’

= òVs3òts’ ms(xs’,ts’)hx,t(xs’-xs,ts’-ts,x,t)d3x’sdt’s

 

avec, de façon assez évidente, Vs3 le volume de matière spectrale. (6) décrit de la matière quantique. En (x,t) = (0,0) et sur ce feuillet seulement, elle se réduit à de la matière spectrale, parce que hx,t y dégénère en fonction delta : il y a « réduction du paquet d’ondes », effondrement (« collapse », disait Prigogine) de la fonction d’onde (plus exactement, du carré de son amplitude). En (xs,ts) = (0,0) et sur ce feuillet seulement, il se produit la même chose, mais réciproquement : la matière quantique se réduit à de la matière ordinaire, parce que rx,t y dégénère en fonction delta. C’est, en quelque sorte, le paquet d’ondes « réciproque » qui, cette fois, s’effondre. On notera que l’effondrement de l’un n’entraîne nullement celui de son réciproque. D’ailleurs, d(x,t) et d(xs,ts) ne sont pas duales l’une de l’autre.

Sur tous les autres feuillets, on trouvera de la matière quantique.

 

Autre correction (qui est plus un complément) : j’ai dit qu’en raison de la nature variable des noyaux, le mouvement quantique est perpétuel. En fait, l’immobilité quantique est possible dans un seul cas : le « vrai vide », où les noyaux sont constants, i.e. ne dépendent pas du point de base.

 

Ces quelques remises à jour de faites, voilà ce qui me gêne en ce moment :

 

Dans un organisme vivant, on est parti du principe qu’il y avait intrication entre le biologique (psychologie comprise) et le spectral. Et les faits cliniques des EMIs nous portent vers une séparation du biologique et du spectral. ça veut dire que je serais quantique du vivant et plus de ma mort. Mais, si j’étais quantique de mon vivant, alors je percevrais aussi bien l’ordinaire que le spectral et je n’aurais pas besoin de « para »psychologie…

Or, je ne perçois pas le spectral. Je ne perçois pas l’énergie, mais la chaleur. L’énergie, je la définis et je la mesure. Je ne perçois pas non plus l’impulsion, je perçois la poussée, la vitesse et l’impact. L’impulsion, comme l’énergie, je la définis et je la mesure. Je ne perçois pas la période d’un signal, je la définis et la mesure. Je ne visualise d’ailleurs que les ondes de matière : parce que je visualise les déformations des milieux matériels. Mais, déjà, j’ai besoin d’appareils pour visualiser le son. Parce que l’air est, pour moi, un milieu trop diffus.

Si j’étais doté, à la naissance, de propriétés quantiques, ça se saurait depuis longtemps…

Paradoxe : j’ai donc l’impression, assez désagréable, de me retrouver à l’inverse des faits, aussi bien neurologiques que parapsychiques… Si je développe (6), on a vu que ça donnait :

 

(7)           M(x,t,xs,ts) = -M(0,0,0,0) + m(x,t) + ms(xs,ts) + Mint(x,t,xs,ts)

 

à une densité constante près, éventuellement nulle, matière ordinaire, matière spectrale et couplage quantique entre les deux.

Mais si, de mon vivant, j’avais vraiment un couplage quantique avec mon double spectral, je percevrais le monde spectral comme je perçois le monde ordinaire, puisque qui dit couplage, dit échange d’informations dans les deux sens. Si, en plus, l’intrication est quantique, mon double et moi ne formons qu’une seule entité quantique.

C’est tout le contraire qui se passe : sur le feuillet (xs,ts) = (0,0), je suis découplé de mon double spectral…

Alors, quoi ? Il se couplerait après, à ma mort ??? Et quoi faire d’une carcasse immobile et qui se mettra vite à puer, en plus ! lol

 

Quelque chose m’échappe pour le moment. J’aurais obtenu des conséquences physiques complètement à côté, j’aurais vu tout de suite que le raisonnement était faux. Mais là, j’obtiens l’inverse exact de ce qu’on est censé retrouver !!!

Forcément, je me dis : y a un truc… c’est carrément paranormal, ça ! lol

 

Je tiens quand même à préciser que c’est une question de fond qui concerne toute la quantique, pas seulement le domaine parapsychique ! Il est vrai que la matière inerte ne meurt pas, mais elle disparaît : si vous avez une réaction chimique C1 + C2 -> C’1 + C’2, les produits de départ auront disparu et les produits finaux auront été créés. Les fonctions d’ondes de départ sont donc modifiées, transformées. Ce n’est pas la même chose quand une enzyme se contente de provoquer l’ouverture d’une protéine : dans ce cas, seule la géométrie de la protéine est temporairement modifiée, pas sa fonction d’onde. Cette dernière est seulement déformée le temps de l’ouverture.

Dans la quantique, tout se passe au niveau des noyaux r et h. Or, ceux-ci sont canoniquement décomposables, comme le montre, notamment, (7). Alors ?... J

 

 

BIDOUILLE 40 : LE TUNNEL DES EMIs

Le 18/06/2013

 

 

Ma parole, je viens ENFIN de trouver le moyen d’utiliser les symboles mathématiques sur le blog : il suffit de faire un glisser-déplacer depuis Word… encore fallait-il le savoir. Lol

Et, puisque c’est le jour des réponses à une balle et demie seulement aux « grandes questions structurelles », eh bien, en voici une qui pourrait bien rester dans les annales, tant elle paraît EVIDENTE. Il s’agit, bien sûr, vu le titre, du Tunnel.

 

Qu’est-ce que ce Tunnel ? C’est un tube.

Qu’est-ce qu’un tube ? C’est un cylindre.

Qu’est-ce qui relie deux points x1 et x2 de l’espace ? Une courbe x(t) telle que x(t1) = x1 et x(t2) = x2.

Et qu’est-ce qui relie deux volumes V1 et V2 de l’espace ? Un tube. 3D. de base V1 et d’extrémité V2.

 

De sorte qu’à la première question :

 

POURQUOI LE TUNNEL ?

 

La réponse, évidente, est tout simplement :

 

PARCE QU’IL FAUT UN TUBE POUR RELIER DEUX VOLUMES, DEUX REGIONS DE L’ESPACE ENTRE ELLES.

 

Bon. Mais, dans le cas des EMIs, il s’agit de connecter une région de l’espace ordinaire avec une région de l’espace spectral. C’est toujours « l’espace », mais les régions changent de nature. Pourquoi ? Parce qu’on se trouve, en fait, dans un espace quantique 3D, qui entremêle les deux natures : « l’ordinaire » et la « spectrale ».

Là encore, plutôt que de se projeter dans un « super-espace » ésotérique à 6 dimensions, je préfère rester en 3D et considérer deux natures physiques possibles de l’espace.

A noter d’ailleurs que la distinction entre « ordinaire », « spectral » et « quantique » est, en fin de compte, d’ordre académique.

Reprenez le très scolaire problème du pendule (ou du ressort) : le déplacement est en x(t) = x0coswt. La pulsation w = 2p/ts, où ts est la période, soit le temps spectral. A première vue donc, x(t) a déjà un air « quantique ». Alors, où se situe la distinction ?

 

CE QUI EST « ORDINAIRE » CONSIDERE TOUTES LES DONNEES SPECTRALES COMME PARAMETRES.

CE QUI EST « SPECTRAL » CONSIDERE TOUTES LES DONNEES ORDINAIRES COMME PARAMETRES.

ET CE QUI EST « QUANTIQUE » CONSIDERE TOUTES LES DONNEES COMME VARIABLES.

 

Si ce n’est pas de l’académique, ça…

Reprenez maintenant le mouvement quantique X(t,ts) : ce n’est plus une courbe, mais une surface. Les X(t,ts = cte) sont des mouvements ordinaires, dans l’espace ordinaire : chaque valeur fixée du paramètre ts renvoie à l’un de ces mouvements. Les mouvements X(t = cte, ts) sont des mouvements spectraux, dans l’espace spectral : chaque valeur fixée du paramètre t renvoie à l’un de ces mouvements.

Dès que je fixe t ou ts, mon mouvement se réduit à de l’ordinaire ou à du spectral. Le mouvement quantique ne se définit que pour t et ts variables. C'est-à-dire, « globalement ».

 

Pour passer d’une région ordinaire de l’espace 3D à une région spectrale de ce même espace (physique, bien sûr, pas mathématique !), j’ai donc besoin d’un tube quantique.

Ainsi, à la deuxième question :

 

QU’EST-CE QUE LE TUNNEL ?

 

La réponse, dans le présent cadre de travail, est :

 

UN TUBE QUANTIQUE.

 

Il va ainsi me falloir une paramétrisation en X(t,ts) pour avoir comme base une surface, enveloppe d’un volume 3D compact. Par exemple, un ellipsoïde :

 

(1a)     X(t,ts) = A(t,ts)sin(wt)cos(wsts) = A(t,ts)sin(2pt/ts)cos(2pts/t)

(1b)     Y(t,ts) = B(t,ts)sin(wt)sin(wsts) = B(t,ts)sin(2pt/ts)sin(2pts/t)

(1c)     Z(t,ts) = C(t,ts)cos(wt) = C(t,ts)cos(2pt/ts)

(1d)     X²(t,ts)/A²(t,ts) + Y²(t,ts)/B²(t,ts) + Z²(t,ts)/C²(t,ts) = 1

 

Alors, j’ai pris des amplitudes variables, parce que les noyaux intégraux rt(t/ts) et ht(ts/t) sont variables (tout mouvement quantique est non uniforme par essence. Il est même perpétuel, puisque l’immobilité quantique est impossible). En me servant de cette sphère comme base, j’obtiens un Tunnel de topologie S²xR avec le temps comme axe :

 

LE TUNNEL EST UN TUBE QUANTIQUE 4D AYANT POUR BASE UNE SURFACE COMPACTE ET POUR AXE, L’AXE DU TEMPS QUANTIQUE.

 

puisque je dois passer, non seulement des variables x aux variables xs, mais aussi du temps ordinaire t au temps spectral ts. Je vais donc me déplacer dans le temps. Mon temps quantique, je le définis comme suit :

 

(2)          T(t,ts) = òt’ t’rt[(t’-t)/ts]dt’ = òts’ tsht[(ts’-ts)/t]dts

 

J’ai donc :

 

(3)          T(t,0) = t  ,  T(0,ts) = ts

 

Je peux aussi raisonner en variable X0(t,ts) = cT(t,ts), auquel cas, je conserve la vitesse de la lumière comme constante universelle.

Je sors donc d’un volume V1 d’espace ordinaire, qui n’est plus mon cadre de vie, dans lequel ts = 0 et T se réduit au temps ordinaire, pour entrer dans le Tunnel, me déplacer en un mouvement non uniforme le long du temps quantique T(t,ts) (d’où l’accélération) et ressortir du Tunnel dans un volume V2 d’espace spectral dans lequel t = 0 et T se réduit au temps spectral ts.

 

LE MOUVEMENT A L’INTERIEUR DU TUBE EST NATURELLEMENT ACCELERé DU FAIT DE LA SEULE PRESENCE DES DISTRIBUTIONS QUANTIQUES rt ET ht QUI GARANTISSENT LA NON-UNIFORMITé DU MOUVEMENT. AINSI, MEME EN L’ABSENCE DE TOUTE MATIERE ET MEME DE TOUT CHAMP PHYSIQUE A L’INTERIEUR DU TUNNEL, LE VIDE QUANTIQUE SUFFIT A LUI SEUL A METTRE EN MOUVEMENT ET A ACCELERER.

 

La mise en mouvement est « spontanée », l’accélération aussi. Pas besoin de corps attracteur, ni « d’intervention divine ».

Si le Tunnel était vertical, on n’aurait même pas besoin de se déplacer dans l’espace, seule la nature du volume changerait. En réalité, comme le mouvement est accéléré et 4D, le Tunnel est courbe et il y a déplacement dans l’espace. Le spectre du patient en état de réanimation sortira donc de la salle d’opération pour se retrouver « quelque part ailleurs » dans l’espace, une autre région (où, ce serait trop me demander). Posons qu’il sort de V1 à t = t1 (à t < t1, il se trouvait dans V1). D’après (3), on a T(t1,0) = t1. Dans le Tunnel, il effectue un déplacement T(t,ts) dans le temps et il sortira du Tunnel à l’instant T(t2,ts2) = T2, qui est un point dans le plan temporel (t,ts), pour se retrouver dans le volume spectral V2. Conséquence :

 

SOIENT t1 (RESP. t2), L’INSTANT ORDINAIRE D’ENTREE DANS LE (RESP. DE SORTIE DU) TUNNEL. SI t2 < t1, IL Y A REGRESSION TEMPORELLE. CECI EST MECANIQUEMENT REALISABLE SANS VIOLATION DE LA CAUSALITE PARCE QUE LE TRANSFERT SE SITUE DANS UN PLAN TEMPOREL.

 

Reste l’aspect thermodynamique (entropie), qu’il s’agira de vérifier.

 

SI t1 = t2, LE TRANSFERT PARAÎT INSTANTANé DANS V1.

 

En revanche, il prend ts2 dans V2. Et, puisque nous sommes en 4D, donc en quantique relativiste, il est plus naturel de prendre pour variables t et ts des temps propres.

La prochaine fois, on regardera la dynamique de ce mouvement, pour tenter de répondre à la question :

 

LA « GRANDE LUMIERE BLANCHE AU BOUT DU TUNNEL » EST-ELLE NI PLUS NI MOINS QUE LA LUMIERE NATURELLE ?

 

Pour l’heure, je n’ai fait que quelques calculs de tête, vite fait, sur les noyaux. Rien qui me permettre d’énoncer quoi que ce soit. Ni sur la nature de cette Lumière : ordinaire, quantique ou spectrale. En effet, ça peut même être la lumière ordinaire : on se situe dans un plan temporel et non plus sur un axe et le temps T est quantique. Il se peut donc que, dans ce cadre-là, on puisse atteindre c en un temps fini.

Une dernière question, toute bête a priori, pour finir :

 

POURQUOI PASSER DANS UN TUNNEL ?

 

Pourquoi ne pas se contenter d’être séparé de sa contrepartie biologique ? Surtout si rien ni personne n’attire « de l’autre côté » ?

La réponse que me donne la théorie ici présente réside dans la nature physique du monde : la nature ordinaire, la nature spectrale et la nature quantique. Le même monde, le même univers, sous trois aspects physiques. Il semble alors naturel que :

 

LES OBJETS, PROCESSUS ET PHENOMENES D’UNE NATURE DETERMINEE (ORDINAIRE, SPECTRALE OU QUANTIQUE) SE SITUENT ET SE PRODUISENT DANS DES REGIONS DU MONDE PHYSIQUE DE MEME NATURE.

IL NE FAUDRAIT PAS POUR AUTANT TOMBER DANS LA DICHOTOMIE : LE MONDE PHYSIQUE EST QUANTIQUE. LORS DE DECOUPLAGES (« DEQUANTIFICATION »), IL RESSORT DES ASPECTS PARTICULIERS, QUE NOUS APPELONS « L’ORDINAIRE » ET LE « SPECTRAL ».

 

Avant découplage corps biologique – corps spectral, le patient est de nature quantique, dans une région quantique du monde.

Après découplage, il se retrouve « dédoublé », mais toujours dans la même région quantique du monde. Oui : le cadre est une chose, les objets qui le peuplent en sont une autre… J

La situation devient singulière. Le processus naturel de régularisation est alors la formation d’un Tunnel, structure singulière (regardez les invariants métriques d’un cylindre – classification des surfaces du 2nd ordre : c’est singulier), quantique (en accord avec le cadre), le corps biologique reste dans une région qui nous apparaît, à nous, observateurs, ordinaire, tandis que le double spectral, lui, est « transféré » dans une région qui nous apparaît, toujours à nous, observateurs, spectrale (pour des observateurs spectraux, c’est l’inverse).

 

La difficulté, quand on fait surtout de la théorie, c’est de ne jamais perdre de vue que la physique est d’abord et avant toute chose une science d’observation. Et qu’en conséquence, nous observons le monde tel que nous le percevons. Pas tel qu’il est en réalité. C’est le dilemme bien connu de savoir s’il existe ou non une physique sans observateur. Et comment modéliser une telle physique, à supposer qu’elle soit mathématiquement constructible.

 

Dans l’état habituel de conscience, nous ne percevons que les corps biologiques, pas les corps spectraux (ou pas directement, tout du moins). Même les processus mentaux, on l’a vu, entrent dans la catégorie « biologique ». Ce n’est donc pas parce que vous ferez de la psychologie que vous rencontrerez le spectral. Ce n’est pas suffisant. Il faut pouvoir accéder à d’autres niveaux de réalité.

Par l’usage de drogues hallucinogènes, j’en doute fortement : elles ne modifient que les états de conscience. Je parle de niveaux de réalité physique : ce n’est pas la même chose.

Là encore, j’ai cru, au départ, que l’on pouvait associer les deux, ce n’est pas le cas : vous voyez bien que, pour passer du niveau de réalité ordinaire (perception ordinaire du monde environnant) au niveau de réalité spectrale, il faut additionner tous les états de réalité ordinaire possibles. Il ne suffit donc pas de passer d’un niveau de conscience à un autre, aussi subjectif puisse-t-il être ! Le seul résultat que vous obtiendrez par cette voie sera de vous rigidifier les synapses, autrement dit, devenir PSYCHO… Alors, vous aurez sans doute l’impression d’accéder à « d’autres mondes ». En réalité, ces « autres mondes » n’auront d’existence que celle de réalités virtuelles, générées par votre propre psychisme devenu malade…

Pratiquement, vous n’aboutirez qu’à un seul résultat : en individuel, l’effondrement ; en collectif, l’explosion de la société.

 

Ni l’un ni l’autre ne me paraissent mener à « Gaïa » : au « Paradis Terrestre ».

Plutôt à L’ENFER…

 

DERNIERE MINUTE :


Oui, la "Grande Lumière Blanche" au bout du Tunnel est bien de la lumière ordinaire. On explique en fait très facilement le phénomène : le transfert s'effectuant dans le monde quantique, c'est le temps quantique T(t,ts) qui est concerné. Or, l'intégrale (2) est régulière et on s'assure facilement que T(0,ts) et T(t,0) peuvent rester finis. Comme, en 4D, on raisonne avec des paramètres temporels propres, t (resp. ts) sera nul dans deux cas : à l'origine du temps ordinaire (resp. spectral) et à v = c (resp. vgr = c). Puisque la destination est le monde spectral, on arrivera fatalement à la situation T(0,ts) partant de T(t,ts). Mais, il y a pas régression dans le temps ordinaire, puisqu'il s'agit du temps propre et, par conséquent, v = c en sortie du Tunnel et le temps pour atteindre v = c est fini, mais quantiquement.
La même chose se produirait dans le sens inverse spectral -> ordinaire, il n'y aurait pas non plus régression temporelle et on aboutirait fatalement à vgr = c avec, cette fois, de la lumière spectrale du côté ordinaire.
Cela renforce en fait considérablement les postulats de la physique quantique et les démontre même physiquement (on n'a peut-être pas la rigueur d'une démo mathématique formelle), parce que les quantités spectrales (période, longueurs d'onde) sont considérées comme caractéristiques de comportements ondulatoires. Dans les niveaux de réalité quantiques, donc, on reçoit à la fois des informations "matérielles", provenant de la réalité ordinaire, et des informations "ondulatoires", provenant de la réalité spectrale. On mélange tout ça et on obtient bien du "quantique", qui se comportera comme de la matière dans la réalité ordinaire et comme une onde, dans la réalité spectrale vue depuis la réalité ordinaire.
Ensuite, sur le plan de l'observation, on se rend compte, dans le cadre de cette théorie bien sûr (ai-je toujours besoin de préciser ?) que :
 

DU POINT DE VUE DE L'OBSERVABILITE DES PHENOMENES ET DE LEURS PERCEPTIONS,
LA REALITE ORDINAIRE EST "COUPEE" DE LA REALITE QUANTIQUE PAR LA LUMIERE SPECTRALE ET
LA REALITE SPECTRALE EST "COUPEE" DE LA REALITE QUANTIQUE PAR LA LUMIERE ORDINAIRE.
CONSEQUENCE :
LES PHENOMENES QUANTIQUES NE SONT PAS DIRECTEMENT OBSERVABLES, NI MEME PERPCETIBLES, DEPUIS LA REALITE ORDINAIRE OU MEME LA REALITE SPECTRALE.

 

Ajout du vendredi 5 juillet 2013, suite à bidouille 42.

 

BIDOUILLE 39 : COMPLEMENTS SUR LES SIGNAUX QUANTIQUES

Le 29/05/2013

Bidouille 37, nous avons établi les premières propriétés des noyaux intégraux rhô et éta. Ici, nous allons établir quelques compléments.
Notons tout d'abord que l'extension intégrale :

(1)     f(x,l) = ID f(x',0)rhô[(x'-x)/l]dx' = IDs f(0,l')éta[(l'-l)/x]dl'

(formules 1 et 3 de ladite bidouille) s'applique aussi bien aux fonctions ordinaires f(x,0) qu'aux fonctions-densités ordinaires (et à leurs homologues spectraux), puisque f(x,l) n'est autre que le produit de convolution ordinaire de f(x,0) avec rhô (x/l) ou de f(0,l) avec éta(l/x). Bidouille 38, nous avons déjà vu un exemple d'extension du mouvement ordinaire x(t), fonction du temps, en le mouvement quantique X(t,ts), fonction de t et de ts, et un autre exemple d'extension de la densité de masse mu(x) en une densité quantique M(x,xs).
Considérons en particulier la distribution d(x) de Dirac : c'est l'unité des distributions. Mais lesquelles ? Manifestement, des distributions ordinaires. Car, si nous la convoluons avec rhô(x/l), nous obtenons :

(2)     D(x,l) = ID d(x')rhô[(x'-x)/l]dx' = rhô(x/l)
 
L'EXTENSION INTEGRALE DE LA DISTRIBUTION UNITE DE DIRAC d(x) EST LE NOYAU INTEGRAL rhô(x/l).
PAR DUALITE SPECTRALE, L'EXTENSION INTEGRALE DE d(l) EST LE NOYAU INTEGRAL éta(l/x).

 
Par contre, d(l) n'est pas, en général, le spectre de d(x) : ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit ! :)
Qu'est-ce que cela signifie ? Ceci :
 
LA THEORIE DES DISTRIBUTIONS ORDINAIRES NE POSSEDE QU'UNE SEULE UNITE FONCTIONNELLE, d(x).
LA THEORIE QUANTIQUE DES DISTRIBUTIONS EN POSSEDE UNE DOUBLE INFINITE : A SAVOIR, TOUTES LES FONCTIONS-DENSITES rhô(x/l) ET LEURS RECIPROQUES éta(l/x) VERIFIANT LES PROPRIETES ETABLIES BIDOUILLE 37.

 
Reprenons alors la formule classique des distributions ordinaires :
 
(3)     ID f(x',0)d(x'-x)dx' = ID f(x'-x,0)d(x')dx' = f(x,0)

C'est la convolution de f(x,0) avec l'unité ordinaire d(x), qui redonne évidemment f(x,0). L'extension de ce produit est la convolution quantique de f(x,l) avec rhô(x/l) ou éta(x/l), qui redonne f(x,l) :

(4)     IDIDs f(x',l')rhô[(x'-x)/(l'-l)]dx'dl' = IDIDs f(x'-x,l'-l)rhô(x'/l')dx'dl' = f(x,l)
(5)     IDIDs f(x',l')éta[(l'-l)/(x'-x)]dx'dl' = IDIDs f(x'-x,l'-l)éta(l'/x')dx'dl' = f(x,l)

parce que, justement, rhô et éta sont des unités quantiques. On voit que :
 
LA PROCEDURE DE QUANTIFICATION DESINGULARISE AUSSITÔT d(x) ET d(l).

Le prix à payer pour cette désingularisation est la double infinité d'unités. En combinant (4) et (1), on obtient les propriétés associatives suivantes des unités quantiques :

(6)     IDIDs rhô[(x"-x')/l']rhô[(x'-x)/(l - l')]dx'dl' = rhô[(x"-x)/l]
(7)     IDIDs éta[(l"-l')/x']éta[(l'-l)/(x - x')]dx'dl' = éta[(l"-l)/x]

qui impliquent :

(8)     IDIDs rhô[(x"-x')/l']rhô[(x'-x)/l']dx'dl' = d(x"-x)     pour l = 0 ;
(9)     IDIDs rhô[(x"-x')/l']rhô[x'/(l - l')]dx'dl' = rhô(x"/l)  pour x = 0 ;

(10)   IDIDs éta[(l"-l')/x']éta[(l'-l)/x']dx'dl' = d(l"-l)         pour x = 0 ;
(11)   IDIDs éta[(l"-l')/x']éta[l'/(x - x')]dx'dl' = éta(l"/x)  pour l = 0.

De la même manière, les formules (4) et (5) ci-dessus impliquent les formules importantes suivantes :

(12)   f(x,0) = IDIDs f(x',l')rhô[(x'-x)/l']dx'dl' = IDIDs f(x'-x,l')rhô(x'/l')dx'dl'
(13)   f(x,0) = IDIDs f(x',l')éta[l'/(x'-x)]dx'dl' = IDIDs f(x'-x,l')éta(l'/x')dx'dl'
 
RECONSTRUCTION DES SIGNAUX ORDINAIRES A PARTIR DES SIGNAUX QUANTIQUES,
 
(14)   f(0,l) = IDIDs f(x',l')rhô[x'/(l'-l)]dx'dl' = IDIDs f(x',l'-l)rhô(x'/l')dx'dl'
(15)     f(0,l) = IDIDs f(x',l')éta[(l'-l)/x']dx'dl' = IDIDs f(x',l'-l)éta(l'/x')dx'dl'
 
RECONSTRUCTION DES SIGNAUX SPECTRAUX A PARTIR DES SIGNAUX QUANTIQUES.

Avec celles établies bidouille 37, ce sont les seules formules intéressantes que l'on peut tirer de l'extension intégrale en toute généralité. On n'obtient aucune équation générale intéressante pour les extensions intégrales f(x,l) avec noyaux quelconques. En particulier, f(x,l) ne vérifie pas l'équation des noyaux. Il n'existe donc pas "d'équation quantique" générale. En physique quantique, rhô est la densité de probabilité de présence, carré de l'amplitude de la fonction d'onde, laquelle vérifie une EDP du second ordre type Klein-Gordon et généralisés. Cette "équation d'état" donne la forme du noyau rhô. A partir de cette forme, on peut (en principe, du moins) calculer les extensions f(x,l) d'un signal ordinaire f(x), en déduire son dual spectral f(0,l) et en dériver l'équation régissant f(x,l). Ainsi, même en microphysique, il existe un couple (rhô, éta) de noyaux pour chaque classe de phénomènes. Exit donc "la grande équation de la physique fondamentale". Tant mieux, en fin de compte, car ceci révèle la richesse du monde physique.
Revenons, pour finir cet article, sur la notion de mouvement quantique, bidouille 38. Si un mouvement ordinaire x(t) est en tn, le mouvement spectral associé sera en tsn, par simple conservation des unités de mesure. Ainsi, seuls les coefficients du mouvement changeront. Par contre, le mouvement quantique, lui, sera en :

(16)     X(t,ts) ~ tnY(t/ts)   ou bien   tsnZ(ts/t)
 
LES TROIS MOUVEMENTS, ORDINAIRE, SPECTRAL ET QUANTIQUE SONT DE MEME FORME, TANT QU'IL Y A ENTRELACEMENT.
 
Il est alors facile de voir que :
 
L'IMMOBILITE DANS L'ESPACE ORDINAIRE IMPLIQUE L'IMMOBILITE DANS L'ESPACE SPECTRAL ET RECIPROQUEMENT, TANT QUE LES DEUX MOUVEMENT SSONT ENTRELACéS.
 
En revanche, cela n'entraîne nullement l'immobilité quantique : il subsiste un mouvement X(t,ts) uniquement dû à la présence du noyau intégral rhô ou de son réciproque éta. Une sorte de "mouvement de base". En microphysique, c'est un mouvement stochastique, induit par la probabilité de présence des particules. Même en l'absence de toute particule, le mouvement quantique persiste sous forme de fluctuations du vide.
 

 

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